Bonjour
C’est une exclusivité donnée au Parisien (Florence Méréo), affaire aussitôt développée sur les ondes de RTL. Tout aurait commencé il y a précisément un an : le 12 juillet 2018 on apprenait, grâce à la procureure de la République de Strasbourg révélait que le décès de Naomi Musenga (jeune femme qui n’avait pas été prise en charge par le Samu local) aurait eu pour origine première une intoxication au paracétamol.
Agée de 22 ans, à l’agonie lors de sa conversation avec une opératrice du Samu, Naomi était victime « d’une intoxication au paracétamol absorbé par automédication sur plusieurs jours». «La destruction évolutive des cellules de son foie a entraîné une défaillance de l’ensemble de ses organes conduisant rapidement à son décès » expliquait la procureure.
L’affaire de Naomi fut amplement médiatisée. Un mois plus tard, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) lançait « une consultation publique pour…
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